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Comité Alhambra
Les ‘40 Comités’ Plus de 40 comités expriment leur mécontentement face à la situation d'insécurité actuelle dans différents quartiers de Bruxelles. Ensemble, ils ont rédigé une déclaration appelant à une approche intégrée, structurée et coordonnée au-delà des frontières communales, dans laquelle tous les niveaux concernés collaborent plutôt que de se décharger de leurs responsabilités, afin de lutter contre les nuisances. Dans le cadre de cette approche, il faut également prévoir un volet d'accompagnement des personnes en situation de précarité. Ceci est primordial pour obtenir des résultats. Voir aussi: Drogue dans le quartier Alhambra >>> Survol 2023 - 2024 2024 ‘Burgercollectief 40 Comités: 'Aanpak drugsoverlast stap in goede richting, maar te laat'’ - Bruzz - 12/03/2024 Maandag kondigde Brussels minister-president Rudi Vervoort (PS) in de Gewestelijke Veiligheidsraad een reeks maatregelen aan in de strijd tegen drugshandel. Die maatregelen zijn positief maar komen te laat, meent Eric Vandezande, een van de initiatiefnemers van het burgercollectief '40 Comités': "In mijn buurt zijn al gezinnen verhuisd." ‘La stratégie régionale de lutte contre le trafic de stupéfiants validée’ - BX1 - 11/03/2024 Des “task force locales” (TFL) s’attacheront ainsi à développer et suivre un plan d’actions dans chaque “hotspot” validé par le CORES, afin de répondre rapidement aux problèmes et aux violences rencontrées sur le terrain. Dans le but de préserver une cohérence régionale et éviter autant que possible les phénomènes de déplacements, une cellule de Sécurité Intégrale Régionale (CSIR), pilotée par Safe.brussels, veillera en outre au bon échange d’informations entre les différents TFL. La première étape a ainsi été de déterminer des “hotspots”, au préalable approuvées par les bourgmestres concernés, qui seront au nombre de 10 à 15. Dans chacun d’eux, un travail sera déployé au travers de trois axes, à savoir la sécurité, la prévention et la vie de quartier. Le travail de la police locale sera également soutenu par l’émission d’arrêtés de police par le ministre-président, en ce qui concerne par exemple l’interdiction temporaire du protoxyde d’azote ou d’alcool. Des arrêtés de police pourront également être pris par les bourgmestres afin d’ériger des règles spécifiques aux hotspots (comme, notamment, l’interdiction d’accès à certains lieux, des contrôles systématiques d’identité, etc.). Une visibilité policière accrue sera ainsi déployée dans les différents hotspots, et des sanctions administratives communales pourront être prises à l’encontre des consommateurs. Plus tôt dans la journée de lundi, 40 comités de quartier de la capitale avaient dénoncé le manque de réactivité du ministre-président quant à la politique de sécurité du gouvernement bruxellois. “Ce que nous attendons, c’est un projet commun pour l’ensemble de la Région, une vision intégrant des mesures sociales mais aussi répressives, avec une attention particulière à l’espace public et à la propreté dans les quartiers les plus touchés”, avaient-ils adressé aux gouvernements bruxellois et fédéral dans une lettre ouverte. Avec cette nouvelle stratégie régionale, Rudi Vervoort semble avoir fourni un début de réponse aux comités de quartiers. “C’est une question de jours avant que les mesures et les arrêtés plus spécifiques ne soient pris mais, quoi qu’il en soit, cette stratégie permettra d’opérationnaliser une coordination aussi efficace que possible”. Communiqué de presse: ‘Narco-trafic à Bruxelles : le Conseil régional de sécurité approuve la stratégie de lutte contre le trafic de stupéfiants et son impact sur la sécurité: 11/03/2024 Le Ministre-Président bruxellois Rudi Vervoort a réuni ce lundi, le Conseil régional de sécurité (CORES*), en présence de Sophie Lavaux, Directrice Générale de Safe.brussels et Haut Fonctionnaire de l’agglomération bruxelloise. Les membres du CORES ont validé le déploiement d’une « Stratégie de lutte contre le trafic de stupéfiants et son impact sur la sécurité ». Demandée par les acteurs de terrain, celle-ci a pour ambition de développer une approche régionale en cette matière s’appuyant sur une structure de gouvernance précise et partagée de tous. Ainsi pour chaque zone de déploiement prioritaires validée par le CORES, une Task-Force locale (TFL) s’attachera à développer et à suivre un plan d’actions locales afin de répondre rapidement aux problèmes et violences rencontrées sur le terrain. Une cellule de Sécurité Intégrale Régionale (CSIR) pilotée par safe.brussels veillera au bon échange d’informations entre Task-Forces locales afin de préserver la cohérence de l’approche régionale et d’éviter, tant que faire se peut, les phénomènes de déplacements observés antérieurement. Un rapportage des actions à destination du CORES sera également organisé. Lors du Cores du 27 février dernier, Safe.brussels avait été chargé de poursuivre la coordination et d’élaborer une stratégie régionale. Pour cela, l’organisme régional de sécurité et de prévention, a ainsi travaillé à l’opérationnalisation de la stratégie commune, tant avec la police (Zones de Police et police fédérale) et le parquet, les Bourgmestres, les cabinets régionaux concernés et leurs administrations ainsi que le secteur associatif du social-santé (notamment sans-abrisme et prise en charge des assuétudes) et les administrations fédérales, notamment l’Office des Etrangers et Fedasil. La stratégie régionale se base sur les enseignements du plan « Gare du midi », et les actions déjà mises en œuvre sur les territoires particulièrement impactés par le trafic de drogue, au premier rang desquels le Peterbos. La première action a été de déterminer des Zones prioritaires de déploiement (« hotspots »). Celles-ci seront approuvées par les Bourgmestres concernés. Elles seront au nombre de 10 à 15 zones. Dans ces zones, seront menées des actions combinant les trois axes que sont la sécurité, la prévention et la vie de quartier. Des arrêtés de police seront pris pour appuyer le travail policier, tant par le Ministre-Président en ce qui concerne les mesures transversales à tous les hotspots (interdiction temporaire de vente de certains produits -gaz hilarant, alcool) que par les Bourgmestres en ce qui concerne les règles particulières à un hotspot (comme des arrêtés d’interdiction de lieux, des contrôles systématiques d’identité…). La stratégie visant à apporter une réponse urgente s’appuiera sur la structure de gouvernance suivante validée par le CORES : - la mise en place d’une Cellule de Sécurité Intégrale Régionale (« CSIR ») La CSIR sera coordonnée par la directrice générale de safe.brussels. Elle est chargée de veiller à l’exécution et au respect de la stratégie régionale par les différentes Task-Forces locales évoquées ci-après, ainsi que de faciliter les concertations avec les structures existantes. - et de Task-Forces Locales (« TFL ») : Sur base de l’identification et de l’analyse des lieux sensibles et des phénomènes qui y sont liés, le Bourgmestre réunit une Task-Force locale par hotspot identifié. Les TFL sont chargées d’élaborer un plan d’actions ciblé, en suivant la stratégie régionale définie. Le plan d’actions doit comporter trois axes complémentaires et indissociables : Sécurité, Prévention, et Vie de quartier. Chaque Task-Force Locale est composée d’autorités, services et partenaires impliqués au niveau communal et régional couvrant ces trois axes. Rappelons que la mise en œuvre de la Stratégie régionale dépend de la participation de l’ensemble des parties qui sont amenées à y contribuer (autorités fédérales, régionales et locales) chacune d’entre elles restant responsable et indépendante dans le cadre de ses propres compétences. La Stratégie repose fondamentalement sur leur coopération et leur engagement individuel. ‘Burgercollectief '40 Comités' blijft op honger zitten na nieuwe vergadering met Vervoort’ - Bruzz - 04/03/2024 Een vergadering met burgercollectief ‘40 Comités’ en de Brusselse regering heeft maandag volgens de actiegroep weinig opgeleverd. Initiatiefnemer Eric Vandezande wil nu het federale niveau aansporen om de onveiligheid in Brussel te bestrijden. VIDEO: ‘Fusillades et narcotrafic : les comités de quartier ont des attentes’ - BX1 - 03/03/2024 … ‘En raison de l’augmentation des fusillades et du narcotrafic, une quarantaine de comités de quartier ont décidé d’interpeller le gouvernement bruxellois dans une lettre ouverte. Ils dénoncent la violence extrême qui est devenue une “nouvelle normalité”. Ils demandent au monde politique de réagir avec plus de force.’ … Communique de presse - Narco-trafic à Bruxelles : le Conseil régional de sécurité s’est réuni: 27/02 Le Ministre-Président bruxellois Rudi Vervoort a réuni le Conseil régional de sécurité (CORES*) ce mardi. Il y a présenté avec Sophie Lavaux, Directrice Générale de Safe.brussels et Haut Fonctionnaire de l’agglomération bruxelloise, des propositions d’actions coordonnées qui doivent permettre de répondre à la situation de violence actuelle, en combinaison avec l’investissement du fédéral de qui relève la lutte contre la grande criminalité. Ces propositions d’actions se basent sur les enseignements du plan « Gare du midi », et les actions déjà mise en œuvre sur les territoires particulièrement impactés par le trafic, au premier rang desquels le Peterbos et le travail déjà en cours à Safe.brussels, comme l’instauration d’un coordinateur pour la Gare du Nord. Les grands enseignements de l’évaluation du Plan « Gare du Midi » : - La présence policière très renforcée autour de la Gare du Midi a permis aux acteurs publics et associatifs de poursuivre l’exercice de leurs métiers en sécurité ; - Tous les acteurs doivent être présents, depuis les acteurs du socio-sanitaire et de la propreté jusqu’aux forces de police et du parquet, ainsi que l’Office des étrangers ; - Cette mobilisation collective est efficace, mais ne peut être maintenue dans le temps qu’avec des moyens supplémentaires, pour tous les acteurs ; - Une action forte sur un périmètre limité entraîne un déplacement des phénomènes criminels, notamment du trafic -vente et consommation- de drogues vers la porte de Hal, et d’autres lieux, qui étaient déjà touchés par ces phénomènes, mais qui l’ont vu augmenter sensiblement. En conséquence, face à l’aggravation des évènements et à l’extension des territoires concernés, le défi auquel la coordination lancée doit répondre est de construire une réponse à l’échelle de la Région bruxelloise, qui recouvre des hostpots déjà connus, comme par exemple, Porte de Hal ou Ribaucourt, les Gares du Midi et du Nord, les nombreuses stations de métro impactées, ainsi que les quartiers identifiés par les SISP, au premier rang desquels le Peterbos. La première action sera de déterminer les lieux de déploiement de ces coordinations – ces « hotspots » existent déjà pour le travail policier ; ils vont être actualisés. Dans tous ces hotspots, seront menées des actions combinant les trois axes que sont la sécurité, la prévention et les aménagements de quartier. Des actions ad hoc, adaptées aux spécificités de chaque hotspot devront bien sûr être menées en plus. Quelques exemples d’actions communes sur les 3 axes : 1. Sécurité – Fonction de police Elaborer des normes communes, soit par arrêté du Ministre Président, soit par un règlement de police commun. Renforcer la coordination des zones de police pour l’opérationnalisation de la lutte contre le trafic. 2. Prévention Renforcer l’action locale de prévention, pour accompagner les consommateurs, pour sécuriser un lieu. Organiser régulièrement des actions combinées « police - travailleurs de rue - agents de nettoyage » pour marquer une présence visible et une occupation des lieux, dans un esprit d’accompagnement des personnes en souffrance et des habitants du quartier 3. Vie des quartiers Réparer (systématiquement et rapidement), compléter ou réorienter tous les éclairages publics, réparer tous les dégâts à l’espace public (trottoirs, voiries, bancs, …) dans un hotspot. Adopter une politique de « Security by design » pour agir sur les aspects physiques et environnementaux des hotspots de drogue, tels que les infrastructures et l'aménagement urbain, la gestion des espaces verts, la mobilité, l’éclairage et la propreté publique. Safe est chargé de poursuivre la coordination afin de travailler à l’opérationnalisation de la stratégie, tant avec la police (Zones de Police et police fédérale) et le parquet, les Bourgmestres, les cabinets régionaux concernés et leurs administrations ainsi que le secteur associatif du social-santé (notamment sans-abrisme et prise en charge des assuétudes) et les administrations fédérales, notamment l’Office des Etrangers et Fedasil. Un nouveau CORES sera convoqué pour valider la stratégie d’action commune. * Ce conseil présidé par le Ministre-Président de la Région de Bruxelles-Capitale est, pour rappel, composé du Procureur du Roi de Bruxelles, des Présidents des collèges de police, du Directeur coordonnateur administratif, du Directeur judiciaire, des Chefs de corps de chacune des six zones de police locale établies sur le territoire de la Région de Bruxelles-Capitale. Sa composition est élargie à l’ensemble des bourgmestres des 19 communes bruxelloises et à la Haut fonctionnaire. Lettre à Rudi Vervoort & Elke Van den brandt: 27/02 Monsieur le Ministre-Président, Quasi plus un jour, sans une fusillade ! Il y a six mois, le 23 août 2023, 40 Comités de la Région bruxelloise publiaient leur première lettre ouverte pour dénoncer la pauvreté croissante dans les espaces publics, l'insécurité grandissante, le trafic de stupéfiants et la saleté endémique de nos rues et gares. C'était une réaction collective à un état que chacun d'entre nous considérait comme inacceptable et pour lequel la limite avait été atteinte. C'était l'expression d'un large sentiment de "raz le bol". Aujourd'hui, le trafic de drogue continue à se dérouler en public et sans aucune gêne dans des quartiers bruxellois de plus en plus nombreux. Des cas d'une extrême violence avec armes à feu, comme nous l’avons vu à Saint-Gilles, sont devenus comme une espèce de nouvelle "normalité" de la Région bruxelloise. Désormais, il y a des morts ou des blessés graves parmi les gangs de la drogue, mais aussi parmi les simples passants. Face à cette montée intolérable de la violence, nous sommes au regret de constater que le monde politique semble réagir à cette évolution de façon molle et résignée. Les différents niveaux -fédéral, régional, communal- se renvoient les responsabilités sans parvenir à une approche commune.Pour nous simples citoyens, ces atermoiements du politique au nom du "ce n’est pas moi c’est l’autre’’ sont décourageant et témoignent d’un réel décalage par rapport aux aspirations de la population. Dans notre lettre ouverte d'août 2023, nous demandions déjà une action coordonnée des différents niveaux politiques. Nous demandions une approche commune, soutenue par un budget dédié. Nous demandions une attitude volontariste de nos gouvernements alliée à une bonne gouvernance, afin que ce dégage en concertation avec la justice, la police et les organisations d'aide aux personnes sous addiction des solutions concrètes à court et à long terme.Outre la répression, pour lutter efficacement contre la violence dans les rues, nous attendions une approche holistique allant de la prévention à l'aide au logement, en passant par l’assistance psychologique et médicale.Nous attendions également une attention particulière pour les quartiers de Bruxelles où les espaces publics sont mal entretenus ou négligés, car c'est souvent dans ces quartiers que se concentrent les problèmes et où vos citoyens ont du mal à survivre. À la suite de cette lettre ouverte, vous nous avez reçus le 1er septembre dernier en présence des ministres van den Brandt et Maron. Nous vous avions très clairement averti que la situation devenait hors de tout contrôle. Pourquoi, dès lors avoir attendu ces trop longs mois pour enfin réagir ? Ce n’est qu’à la suite de l’explosion du nombre de fusillades que, soudain et comme par enchantement, les choses semblent s’être accélérées. La parole des Bruxellois et Bruxelloises est-elle tellement inaudible en dehors des élections ? Nous exprimons notre grande inquiétude quant au fait que nos préoccupations de l'époque n'ont pas été prises en compte de manière adéquate. La vie quotidienne dans les rues ne s'améliore pas. Les incidents survenus ces derniers jours à Schaerbeek, Saint-Gilles, Forest et Anderlecht prouvent que la sécurité de base dont nous avons besoin et que vous vous devez de nous garantir -pour vivre et fonctionner normalement dans notre ville- fait toujours cruellement défaut. Oui, nos mots peuvent sembler durs, mais ils témoignent de la détresse dans laquelle sombre lentement une partie de plus en plus conséquente de la population. Nous attendons avec impatience vos propositions d'approche à l’occasion de notre prochaine réunion du 4 mars ! Bien évidemment, Monsieur le Ministre-Président, vous ne pouvez être tenu responsable de tous ces maux, mais convenez que ce qui aurait dû être fait ne l’a pas été. Les 40 Comités ‘Violences liées au milieu de la drogue à Bruxelles : Une quarantaine d’associations tirent la sonnette d’alarme’ - La DH - 27/02 Six mois après la publication d’une première lettre dénonçant “l’insécurité grandissante” régnant à Bruxelles, les associations de quartier soulignent que la situation s’est aggravée. “Le trafic de drogue continue à se dérouler en public et sans aucune gêne”, déplorent-elles. “Des cas d’une extrême violence avec armes à feu, comme nous l’avons vu à Saint-Gilles, sont devenus comme une espèce de nouvelle 'normalité' de la Région bruxelloise.” Selon les comités de quartier, les politiques se rejettent la faute sans parvenir à une approche commune. “Pour nous, simples citoyens, ces atermoiements des politiques sur la base du principe 'ce n’est pas moi, c’est l’autre' sont décourageants et témoignent d’un véritable décalage par rapport aux aspirations de la population”, estiment les dizaines d’associations de quartier. Ces dernières reprochent au gouvernement bruxellois la “mollesse” et la “résignation” avec lesquelles il semble réagir face à cette montée “intolérable” de violence. ‘Violences liées au milieu de la drogue : Bruxelles dévoile sa stratégie régionale’ - Le Soir - 27/02/2024 … ‘Un plan d’action sera ensuite développé pour chaque quartier autour de trois axes. Le premier concerne la sécurité, avec l’occupation du terrain par les services de police et de prévention, ainsi que des opérations coordonnées par les forces de l’ordre. Le deuxième axe vise la prévention, ce qui implique l’éducation et les travailleurs sociaux. Enfin, la vie de quartier, avec des actions autour des infrastructures, de l’aménagement urbain, des espaces verts, de l’éclairage et de la propreté.’ … ‘La police agit sans relâche et avec des résultats face au trafic de drogue, affirme Philippe Close’ - BX1 - 20/02/2024 La zone de police de Bruxelles-Ixelles est particulièrement motivée. Ses équipes ont toujours des propositions pour agir et cela produit des résultats, a affirmé lundi soir le bourgmestre de la Ville de Bruxelles, Philippe Close, devant le conseil communal. 67 personnes ont par ailleurs été éloignées du territoire belge. Par ailleurs, M. Close a souligné que la zone de police avait recruté quelque cent inspecteurs de plus au cours des dernières années, même s’il en faudrait “sans doute plus”. La bourgmestre a également précisé avoir proposé à la zone de Bruxelles Midi, et à d’autres, de travailler de la même façon que cela a été fait, avec un magistrat de référence, dans les Marolles. De nombreuses interpellations y ont eu lieu, depuis 2022, année marquante dans la volonté des réseaux de prendre des territoires. Objectif: renforcer la présence policière aux points de vente de stupéfiants, via les “rechercheurs locaux”, des patrouilles de proximité et des renforts de patrouilles temporairement inactives ailleurs. Au passage, Philippe Close a glissé que Bruxelles avait été la première à détacher des policiers vers la police fédérale, déforcée entre 2014 et 2018. La Région investit ainsi, selon lui, quelque 10 millions d’euros par an pour celle-ci. Enfin, la zone de police centrale de la capitale travaille, depuis 2020, avec l’Office des étrangers dans le cadre du projet “High Troube”. Repris à présent par d’autres zones, celui-ci cible spécifiquement les trafiquants de drogue. Dans la seule zone de Bruxelles-Ixelles, 67 personnes ont ainsi pu être éloignées du territoire, a enfin dit le bourgmestre. Narcotrafic à Bruxelles: un Conseil Régional de Sécurité convoqué le 27 février - BX1 - 19/02/2024 … Sophie Lavaux, Directrice Générale de Safe.brussels (organe bruxellois de coordination de la prévention et de la sécurité ) et Haut Fonctionnaire de l’agglomération bruxelloise (agissant comme autorité déconcentrée du Fédéral et plus particulièrement de la ministre de l’Intérieur) aura la charge réunir tous les acteurs concernés pour construire “une réponse forte et coordonnée face aux attaques et menaces inacceptables que les organisations criminelles font peser sur notre population. Cette stratégie globale pour faire face au trafic de stupéfiants et son impact sur la sécurité sur le territoire de la Région bruxelloise sera présenté lors du prochain CORES. Elle sera concertée avec l’Etat fédéral, en particulier les SPF Justice et Intérieur, dont la Commissaire Nationale aux Drogues. Elle doit permettre d’optimaliser les actions et collaborations existantes et de développer les nouvelles actions nécessaires.” … Mardi soir, les "40 Comités" - dont le Comité Alhambra fait partie - ont rencontré les échevin.e.s Zoubida Jellab et Benoit Hellings sur les problèmes d'insécurité qui touchent actuellement de nombreux quartiers bruxellois: 08/02 Voici ce que les échevin.e.s nous ont dit : - Le projet SubLINK - un accord de coopération avec plusieurs partenaires du secteur des sans-abri et des toxicomanes : DIOGENES, Project Lama, Transit et SamuSocial - est opérationnel depuis quelques temps. Il devrait permettre de réduire les nuisances dans le métro grâce à l'accompagnement des sans-abri et des toxicomanes. La Région lui a alloué 6 millions d'euros. - Le centre d'urgence BRUSIP que le bourgmestre Philippe Close a mis en place en collaboration avec l'hôpital Brugmann a démarré. Dans ce centre d'urgence, les toxicomanes peuvent élaborer un plan de désintoxication en concertation avec des psychiatres. 2 millions d'euros ont été attribués à ce projet. - Une deuxième salle de consommation à moindre risque (SCMR) verra le jour près de Ribaucourt et devrait ouvrir ses portes à la mi- 2024. Les clients les plus précaires y trouveront des possibilités de couchage. Une assistance médicale et psychologique sera également assurée dans ce centre, comme c'est déjà le cas dans 'GATE', la SCMR de la rue de Woeringen à Lemonnier qui a ouvert ses portes en mai 2022. - La surveillance policière sera renforcée dans et autour du métro Yser. - il y aura des investissements dans la propreté publique. Mme Zoubida Jellab est en pourparlers avec la Région pour mieux entretenir les routes de la Région (par exemple les boulevards qui font partie de la petite ceinture) ; il y aura un plan pour plus de toilettes dans les espaces publics ; à terme, il y aura un nouveau système de collecte des déchets qui prévoit le remplacement des sacs en plastique par des conteneurs enterrés. Hier dimanche 28 janvier, la police locale a organisé des actions ciblées dans le quartier: 29/01 'Un homme pense proposer de la drogue à des “clients” : il s’agissait de deux policiers en tenue civile' - BX1 - 30/01/2024 Alors que deux toxicomanes ont tenté de s'introduire dans la maison d'étudiants dans la rue Saint Jean Népomucène ce matin, la police et les pompiers étaient occupés un peu plus loin dans le métro Yser après un appel à l'incendie criminel par un groupe de consommateurs de crack qui s'y réfugiaient. : 26/01 Jusqu'au 31 mars, les sans-abri sont autorisés à trouver abri dans le métro. Et chaque année, cela pose des problèmes. D'abord pour les toxicomanes et les sans-abri eux-mêmes : le métro n'est pas un endroit pour abriter des personnes en situation précaire. Il n'y a pas de sanitaires, pas d'eau courante et la consommation de drogues se fait dans des conditions à risque. D'autre part, les riverains sont confrontés à toute heure de la journée à des consommateurs de crack parfois très agressifs. Prendre le métro, c'est se préparer au pire. La voie sera-t-elle libre lorsque je sortirai de l'ascenseur en tant que mère de famille avec le landau, ou faudra-t-il traverser un autre groupe de toxicomanes aux réactions totalement imprévisibles ? Retirer de l'argent dans le métro, qui ose le faire alors que des consommateurs de crack sont littéralement à vos pieds ? Et attendre le métro alors qu'un peu plus loin sur cet étroit quai un groupe de junkies prépare son crack, est-ce la nouvelle normalité sur le chemin de l'école ou du travail ? En tant que comité de quartier, nous avons toujours soutenu les initiatives susceptibles d'offrir aux consommateurs de drogues et aux travailleurs du sexe un environnement plus sûr, comme les salles de consommation à moindre risque ou une Villa Tinto, par exemple. Nous attendons également beaucoup de SubLINK, Housing First, Rights First, etc. En tant que comité de quartier, nous faisons également beaucoup d'efforts pour comprendre pourquoi tout cela est si compliqué, qui fait quoi, pourquoi cela ne peut pas être fait plus rapidement, etc. Mais on ne peut pas s'attendre à un tel engagement de la part de tous les habitants du quartier. Lorsqu'on est confronté chaque jour à des situations parfois très pénibles, il arrive que le crédit vienne à manquer. 2023 Réaction du Ministre Elke Van den Brandt: 28/11 … ‘Begin september hebben de verschillende overheden gewerkt aan een urgentieplan rond het Zuidstation, maar met name de Brusselse regering en burgemeesters beseffen maar al te goed dat dit slechts één van de plekken is waar we met zorg, spoed en vasthoudendheid moeten ingrijpen. Een werk van lange adem. De afspraken rond een gecoördineerde aanpak in en rond het Zuidstation zijn wel een belangrijke stap; in een volgende fase kunnen ze mutatis mutandis worden toegepast rond Ijzer - Ribaucourt, het Noordstation en op gelijkaardige plekken. Wat mij betreft, en de Brusselse Regering in z’n geheel, zijn de volgende elementen onontbeerlijk. Een grotere aanwezigheid van de (spoorweg)politie om korter op de bal te spelen, een humaan en structureel antwoord op de noden van mensen zonder verblijfplaats, die vaak ook met zware psychosociale problemen kampen. Een aanpak van de financiële constructies die de drugscriminaliteit in ons land mogelijk maken. Het project SubLINK, noodopvang en een nieuwe gebruikersruimte in de buurt moeten versterkt en versneld worden. De Brusselse regering maakte intussen ook budgetten vrij om een interne sociale dienst op poten te zetten bij de MIVB naar voorbeeld van de RATP in Parijs. Die moeten instaan voor de begeleiding van personen in kwetsbare omstandigheden op het MIVB-netwerk en de stations naar de gepaste opvang. Tegelijk wordt de veiligheidspoot van de MIVB versterkt met 40 veiligheidsagenten die vooral in de latere uren zullen worden ingezet in de meest prioritaire stations. Ten slotte is er budget voorzien voor een nieuwe gebruikersruimte in de buurt van Ribaucourt, en een noodopvangruimte. Op termijn moet er ook een revalidatietraject komen om mensen op langere termijn een gepaste ondersteuning te geven.’ … 'Vervoort belooft buurtcomités nieuw overleg over drugsoverlast' - Bruzz - 01/09 Tijdens de vergadering presenteerden de 40 comités een overzicht met aanbevelingen die het leven in hun wijk aangenamer zouden kunnen maken. “Aan de hand daarvan zullen wij op regelmatige basis een evaluatie maken van de vooruitgang of achteruitgang in onze straten”, aldus Vandezande. ”Dit wordt de "barometer" van de 40 Comités.” 'Buurtcomités positief na eerste overleg met Vervoort: "Nabije toekomst wel concrete maatregelen nodig tegen overlast"' - VRT - 01/09 Intussen hebben de buurtcomités de handen in elkaar geslagen om ook in de toekomst verder samen te werken. "De open brief was bedoeld als eenmalige actie, maar ondertussen hebben wij besloten onze acties voort te zetten", klinkt het. "Wij worden een burgerbeweging en noemen ons ‘De 40 Comités’. 'Réunion entre Vervoort et les associations : “On a des personnes couchées par terre, droguées, devant nos portes”' - BX1 - 01/09/2023 Pendant deux heures, ils ont raconté leur quotidien pour interpeller les politiques. Ils attendent des solutions, mais n’en ont pas entendu “beaucoup” ce matin. “On ne peut pas se contenter d’une réunion“, indique Rudi Vervoort. Il va maintenant falloir procéder à un débriefing afin de trouver des solutions acceptables. Suite à la lettre ouverte d'il y a une bonne semaine dénonçant l'insécurité dans de nombreux quartiers bruxellois et signée par des dizaines de comités de quartier, une délégation de 10 personnes a été reçue ce matin par le Premier Ministre Rudi Vervoort: 01/09 Aucune promesse concrète n'a été faite. Les questions seront toutefois discutées au sein du conseil de sécurité Safe.Brussels, qui se réunira prochainement. Depuis quelques semaines, la police effectue des contrôles quotidiens dans le quartier: 30/08 Outre l'approche répressive, le bourgmestre Philippe Close a également annoncé qu'il souhaitait ouvrir une Salle de Consommation à Moindre Risque (SCMR) et un centre d'urgence à l'hôpital Brugmann. Devant la presse, il a déclaré : ... La police peut intervenir sur l'ordre public. Ils arrêtent alors les grands toxicomanes, les mettent dans le cachot pendant six heures et puis ? Ensuite, ils sont de nouveau libres. Il arrive qu'ils se retrouvent devant un tribunal, mais c'est rare. Alors que faisons-nous de ces personnes ? Les ignorer ? C'est la seule maladie que nous criminalisons et dont nous ne parlons pas. ... Au centre d'urgence BRUSIP, les toxicomanes détenus peuvent élaborer un plan de désintoxication en consultation avec des psychiatres. Vendredi, Rudi Vervoort recevra une délégation des "40 comités de quartier" suite à la lettre ouverte diffusée récemment et signée par le comité Alhambra. Il pourra alors en dire plus sur le projet Safe.Brussels. Cela montre une fois de plus que contrairement à l'éternel absent Rudi Vervoort, c'est Philippe Close qui est l'homme de la situation. Le premier centre d'utilisateurs, par exemple, a été créé par la Ville de Bruxelles il y a plusieurs années. Un point positif cependant : le ministre-président se fait enfin entendre, une première en 20 ans d'existence du comité ! ‘Interdire l'alcool et les rassemblements dans les gares bruxelloises et leurs environs : la NVA appelle à durcir le ton’ - DH. net - 23/08 … ‘Le parti flamand a élaboré un plan qui comprend l'interdiction par la Région bruxelloise de la consommation d'alcool, des rassemblements, de la mendicité et de l'installation de tentes dans les gares et environs, pendant la nuit. En outre, le plan comprend également une interdiction de la prostitution de rue et la limitation de la prostitution fixe à quelques zones définies.’ … ‘Insécurité dans la capitale : Rudi Vervoort convie une délégation de citoyens et d’associations pour faire le point sur la situation’ - 23/08 Suite à la lettre ouverte publiée par des dizaines d’associations, ainsi que des mails reçus de la part de citoyens, tous relatifs à la consommation de drogue dans plusieurs quartiers bruxellois, “le ministre-président va convier, la semaine prochaine, une délégation de ces citoyens et de ces associations à une réunion chez safe.brussels, afin de faire le point sur la situation“, indique le cabinet de Rudi Vervoort par voie de communiqué. ‘Lettre ouverte : des dizaines d’associations dénoncent l’insécurité grandissante à Bruxelles’ - BX1 - 23/08 “Plusieurs constats ont déjà été faits à ce sujet dans un passé récent dans la presse ; des policiers, des magistrats ont témoigné anonymement, des particuliers et des associations de quartier se sont exprimés chacun pour soi, tout comme la SNCB, mais c’est la première fois que les associations des quartiers de la zone du canal – ensemble et au-delà des frontières de leurs communes – soulèvent ce problème directement auprès de leurs responsables politiques et demandent une approche intégrée, coordonnée et structurelle“, pointent les auteurs du texte. Mouvement de citoyens "Les 40 Comités" - notre déclaration: 30/08 En tant que citoyens, nous avons droit à un espace public de qualité, sûr, propre et agréable à vivre. Il faut en finir avec la mentalité du "tout est permis" dans les rues. Certains quartiers sont confrontés depuis longtemps à des problèmes d'insécurité, de prostitution de rue et de propreté. L'augmentation constante du nombre de sans-domicile fixe, de sans-papiers, de vagabonds vivant dans la rue, mangeant, buvant, dormant, se soulageant, a aggravé les problèmes. Ils doivent survivre par tous les moyens, y compris le vol, sont parfois exploités et sont parfois victimes de la traite des êtres humains. Depuis la venue du crack, les incidents entre dealers et consommateurs ont augmenté de façon exponentielle. Les drogues sont désormais librement échangées et consommées dans les espaces publics, de jour comme de nuit. Les agressions se multiplient dans les rues, les gares et les métros ainsi que les bagarres avec ou sans armes par des personnes sous influence. La loi du plus fort règne dans les rues et l'Etat est trop souvent absent. Le sentiment d'insécurité s'est accru parmi les habitants et les commerçants. Beaucoup craignent ce qui peut arriver à leurs proches, à leurs clients ou à eux-mêmes dans les espaces publics. Notre vie quotidienne en est de plus en plus restreinte. Nous attendons de nos responsables politiques qu'ils initient ensemble un projet qui traite non seulement les problèmes de la Gare du Midi, mais de l'ensemble de la zone problématique qui va du quartier de la Gare du Nord au quartier de la Gare du Midi en passant par le centre ville et la zone du Canal. Nous attendons de la Région qu'elle joue un rôle de coordination, en impliquant les différents bourgmestres et en recherchant le soutien du gouvernement fédéral si nécessaire. Il faut mettre fin à la politique de ping-pong entre les différents niveaux (local, régional, fédéral). Il faut des accords et de la coopération. Ce projet doit être une priorité car le temps presse. Nous craignons que les problèmes ne fassent que s'aggraver, que la zone à problèmes s'étende à d'autres quartiers, si aucune mesure n'est prise maintenant. Nos recommandations : 1) Ordre public / Sécurité - La police de proximité devrait avoir une présence plus visible dans les espaces publics. Plus de policiers de quartier sur nos trottoirs, accessibles à tous et plus proches des gens. Ils doivent veiller au respect et à l'application de la loi. La politique de tolérance doit cesser (consommation excessive d'alcool, trafic de drogue, stationnement sauvage, musique forte, voleurs à l'étalage, pickpockets, prostitution de rue, trafic d'êtres humains, etc...). Plus d'agents de prévention et de travailleurs de rue. 2) Espaces publics / Propreté - Les rues et les espaces publics doivent être maintenus propres, si nécessaire par des contrôles stricts et des amendes en cas d'infraction, des amendes pour les décharges illégales. Nous remercions les personnes qui nettoient nos rues tous les jours, mais l'organisation de la collecte des déchets elle-même pourrait être améliorée. - La qualité des espaces publics doit être contrôlée dans tous les quartiers. Une vision doit être développée par et avec le gouvernement sur la "ville vivable" pour les résidents et pas seulement pour les sans-abri, les vagabonds, les toxicomanes, les touristes, l'horeca et les festivités. Il devrait y avoir un mélange sain entre les résidents et tous les utilisateurs de l'espace public. - Il est nécessaire de construire des espaces publics de qualité. D'un entretien rigoureux. De verdir nos quartiers par des interventions rapides (par exemple, des parterres de fleurs et des adoucissements autour des arbres et sur les petites places). De réparations rapides en cas de dégradations. 3) Mesures sociales - Les milliers de sans-abri, de vagabonds, de toxicomanes doivent être aidés. C'est en grande partie dans nos quartiers que se trouve l'ensemble du groupe. La réduction de la pauvreté est essentielle à cet égard, de même qu'une politique stricte et équitable en matière d'immigres, de réfugiés et de demandeurs d'asile. - En ce qui concerne le problème de la drogue, nous préconisons une approche globale structurée qui va d'une répression accrue contre les dealers et les individus agressifs à l'accompagnement social du groupe à problèmes (avec une assistance médicale et psychologique), en passant par le logement. Les centres d'hébergement actuels du Samusocial sont insuffisants. - Les centres sociaux le formulent comme suit : 1. Nous avons besoin d'un plan d'urgence (fédéral) pour travailler de manière préventive sur le problème de la drogue. Au lieu de traiter les toxicomanes comme des criminels, il faut leur offrir un accompagnement social et médical. 2. Il faut une concertation structurelle avec le voisinage, en réunissant les autorités locales (y compris les CPAS), la police, les procureurs, les habitants et les organisations d'aide sociale. Une tâche pour Brusafe. De cette manière, un dialogue constant est maintenu et les gens peuvent agir ou prendre des initiatives rapidement à partir de leur position. 3. Un véritable accès aux droits fondamentaux grâce à une meilleure accessibilité aux services publics. Les CPAS sont souvent très difficiles à joindre par téléphone.... Les personnes qui doivent attendre trop longtemps, par exemple pour une inscription dans une commune ou pour leur revenu d'intégration, se retrouvent très vite dans une spirale très négative. 4. Le "logement" doit être la priorité absolue. Se concentrer sur un logement de qualité pour les personnes à faibles revenus est crucial dans la lutte contre le sans-abrisme. Il en va de même pour la sanction des propriétaires peu scrupuleux. Lorsqu'il est trop tard (lorsque quelqu'un devient sans-abri), il est important qu'il y ait suffisamment de refuges de qualité. Des projets tels que le Housing First fonctionnent bien et sont nécessaires, mais une offre élaborée de refuges accessibles et de qualité reste tout aussi nécessaire dans le contexte actuel. Les habitants de Bruxelles-Ville, Schaerbeek, Anderlecht, Molenbeek, Sint Gillis, Sint Joost se sentent ignorés, incompris, négligés, de second rang. Nous demandons à nos responsables politiques de prendre leurs responsabilités. Maintenant. Ensemble. Signé par : Asbl Quartier Saint-Jacques - Bruxelles, Shopera - Association des commerçants du centre-ville de Bruxelles, Comité du Quai des Péniches - Bruxelles (ACP Canal Wharf-ACP Waterside-ACP Riva, ACP Up-Site), Comité Alhambra, BOB361 Architects, Comité de quartier de Meersman (Cureghem), Comité Vigilance Cureghem, Les exploitants et habitants des péniches du bassin Beco, Comité BRU 1000, Comité du Marché aux Porcs, les ACP's du Héliport 1, 2 & 3, VME Brel, Rempart44 co-work, Comité de quartier Minoterie - Molenbeek, Comité de quartier Place du Jardin aux Fleurs - Bruxelles, Les habitants du Quai aux Foins -Quai aux Pierres de Taille, les commerçants du Marché aux Porcs, Comité de quartier Le Maritime, Association commerciale Downtown Dansaert, Green Connections (Berme Centrale/Foire du Midi), CLS Cosmos - Anderlecht, CLS Harmonie - Bruxelles, CLS Forum - Bruxelles, CLS Anker - Bruxelles, CLS Miro - Forest, CLS Vives - Bruxelles, ACP Lambert Crickx, BRAL, Comité de quartier Porte d' Anderlecht, ATF Asbl (Autour du four) - Molenbeek, PPCV Asbl (Potager Partagé Coulée Verte) - Molenbeek, Triangel30Triangle - Anderlecht, Maison de quartier Bonnevie - Molenbeek, VZW Gemeenschapscentrum Ten Noey (Sint Joost ten Node), Comité Liedts-Lehon - Schaerbeek, Association des commerçants du quartier Brueghel et des Marolles - Bruxelles, Comité du quartier Nord Victoria Regina - Saint Josse, Comité Weldadigheidsstraat/ Rue de la Bienfaisance - Saint Josse, Comité IJzer/Sainctelette - Brussel Cette action est soutenue par : EXKi Bolivar - Schaerbeek, EXKi Rue Neuve - Bruxelles, EXKi-Porte de Namur, Ixelles ‘'Schrijnende onveiligheid blijft verergeren': maat is vol voor veertigtal buurtcomités’ - Bruzz - 22/08 ... 'Meer dan dertig buurtcomités en organisaties uiten daarin hun ongenoegen over de huidige onveiligheidssituatie in verschillende Brusselse wijken. Ze manen minister-president Rudi Vervoort (PS) en de burgemeesters van Brussel-stad, Anderlecht, Sint-Jans-Molenbeek, Sint-Gillis en Sint-Joost-ten-Node aan tot dringende actie om de problematiek aan te pakken.' ...